Champs de recherche : Représentations culturelles

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Bourdieu «-Schémas mentaux qui orientent notre façon de voir le ainsi que notre rapport et nos relations avec les autres. - Le produit d’un travail social collectif par lequel les agents sociaux construisent leurs modes de connaissance de la réalité.» [1982]

Sperber «Sous-ensemble constitué de deux formes de représentations : mentales et publiques. Les représentations mentales réfèrent aux croyances, aux intentions et aux préférences, spécifiques à l’individu. Les représentations publiques se retrouvent dans les textes, les énoncés, des discours, des images ou des signes extérieurs qui peuvent représenter quelque chose de différent pour chacun.» [1996]

Bourdieu «Schémas mentaux qui orientent notre façon de voir le ainsi que notre rapport et nos relations avec les autres. - Le produit d’un travail social collectif par lequel les agents sociaux construisent leurs modes de connaissance de la réalité.» [1982]

Sperber «Sous-ensemble constitué de deux formes de représentations : mentales et publiques. Les représentations mentales réfèrent aux croyances, aux intentions et aux préférences, spécifiques à l’individu. Les représentations publiques se retrouvent dans les textes, les énoncés, des discours, des images ou des signes extérieurs qui peuvent représenter quelque chose de différent pour chacun.» [1996]

Tegelaar, M. «Intergroup Anxiety, Ethnocentrism, and Willingness to Communicate with Persons Experiencing, » [2012]

Dictionnaire de l'Altérité «Attirance particulière pour tout ce qui est étranger, et qui, en quelque sorte, constituerait une prédisposition au cosmopolitisme.» [2003]

McGraw-Hill International Dictionary «Développement de repr Development of positive representations towards Otherness and another culture.ésentations positives pour l’Autre et l’autre culture.» []

Ferréol et Jucquois, p. 351 «« Crainte, peur, rejet, aversion et voire « haine » ou hostilité de celui que l’on perçoit comme étranger ou de ce qui vient de l’étranger » ; » [2003]

Tarnero «- La crainte, la peur, l’aversion, la haine, le rejet de celui qui est perçu comme étranger » [1995]

Tarnero, p.7 «- Sentiments manifestés contre l’étranger, qui « s’appuient sur la célébration de l’excellence de son propre groupe », et supposent que l’étranger vient rompre un équilibre, une harmonie locale, autochtone » [1995 ]

Tarnero, p.78 «À certains égards, « elle se rapproche de l’ethnocentrisme »» [1995]

Bourquei, p. 78 «La xénophobie est souvent associée à la « distance sociale » et elle est aussi reliée au racisme par la perception négative que l’Autre inspire en constituant une menace pour sa propre intégrité. - se caractérise par une péjoration ou une dévalorisation de la différence allant jusqu’à l’hostilité. Elle se caractérise aussi par un refus de l’égalité ou de l’identité (que l’autre devienne ou soit comme nous) -peut constituer une barrière centrale entre le nous et l’autre. Elle « sert de justification a postériori sur la représentation préexistante ». - les conséquences sont les préjugés, la catégorisation, la domination, les agressions, la surprotection, » [2008]

McGraw-Hill International Dictionary «Development of negative representations towards Otherness and another culture» []

Byram «L’acceptation des autres, s’abstenant de les bannir de notre société parce qu’il nous dérange ou de vouloir les détruire ou même de leur déclarer la guerre. Cela implique le désir de travailler et de vivre avec des personnes qui sont différentes de nous.» [1989]

Beaumgratz-Gangl (dans Byram 7 Morgan), p.23 «L’expression de sentiments et de compassion, limitée à des souffrances personnelles qui résultent de la neutralisation des émotions négatives par la reconnaissance de la dissonance cognitive et par la réduction de l’agression dans les relations interpersonnelles» [1994]

Byram, p.89 «Une attitude, c’est-à-dire l’appréhension de la condition ou de l’état émotionnel d’une personne autre que soi-même qui prend racine dans la mise en valeur d’un apprentissage cognitif à travers le rehaussement de l’affectif, axé sur une activité et non une acceptation passive de la réalité et une habileté à participer à une manière de vivre...» [1989]

Barrette, Gaudet et Lemay, p. 41 «Une image mentale collective et caricaturale supportant un préjugé.» [1996]

Amossy, p. 24 «« représentation simplifiée ; schème collectif figé ; modèle culturel ; image toute faite »» [1998]

Plous «Les stéréotypes sont plutôt « des reproductions mentales de la réalité alors que les préjugés sont définis comme impliquant « un jugement a priori, souvent négatif d’un groupe ou de ses membres » (Fiske 1998 ; Jones, 1997 ; Nelson, 2002) et que la discrimination implique « que les membres d’un groupe sont désavantagés ou qu’ils sont traités injustement à cause de leur appartenance à ce groupe » (Plous 2003). »» [2003]

Bourque, p. 86 «« Forme de discrimination associée au critère de race, comme le sexisme est une forme de discrimination associée au sexe, et l’âgisme, à l’âge ». L’évolution du racisme et la diversité de ses formes permettent de le considérer comme « une autre forme particulière de mécanismes d’exclusion » » [2008]

Bourque, p. 87 «Le racisme prend actuellement des caractéristiques subtiles et particulières : mise en relief des différences biologiques, sociales, culturelles, érection des différences, exagération des différences, condamnation du mélange des cultures, affirmation de l’inassimilabilité culturelle. Le racisme se manifeste de trois manières qui sont autant d’opérations cognitives : 1. Essentialisation : attribution d’une mauvaise nature basée non pas seulement sur la couleur de la peau, mais sur des valeurs identitaires intrinsèques de la personne ou du groupe ; 2. Stigmatisation ou exclusion symbolique : rejet de tous les représentants d’un groupe considéré comme impurs et qui doivent être rejetés par le groupe ; 3. Barbarisation : phénomène qui débouche sur la conviction que certains humains ne sont pas « civilisables » » [2008]

Bourque, p. 86 «Trois conséquences du racisme ; « La ségrégation, la discrimination ou l’exclusion des indésirables ; leur persécutions non pas parce qu’ils aient commis une quelconque infraction, mais à cause de leur appartenances et enfin « l’extermination de tous les représentants de la catégorie visée ».» [2008]

Memmi, p. 113 «Nationalisme, impérialisme colonial ou ethnicisme, formes d’actes ou de théories camouflées ou implicites. - une sorte de « valorisation généralisée et définitive de différences réelles ou imaginaires au profit de l’accusateur et au détriment de la victime afin de justifier ses privilèges ou son agression ». » [1994]

Taguieff, p. 49 «Une nouvelle forme de culturalisme et de différentialisme » [1997]

Taguieff, p. 54 «« Hantise du mélange, peur panique de l’indifférenciation, ou de la perte d’identité qui se traduit en exaltation de la différence »» [1997]