Champs de recherche : Compétences transculturelles
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Baumgratz-Gangl «Ouverture à l’autre sans perte d’identité pour se former à la mobilité intellectuelle. L’apprenant se voit offrir la chance de dépasser la frontière de sa perception et de sa pensée, l’horizon restreint de sa conscience ou même la référence absolue de ses jugements et de ses actions. » [1993]
Domenig «Capacité de percevoir et comprendre les individus dans leur monde vécu et leur contexte individuel et d’agir de façon adéquate. » [2007]
Lussier « Intégration et respect des valeurs de l’Autre découlant de la coexistence de divers groupes ethniques et cultures en présence dans une même société ou dans des sociétés distinctes et visant la formation d’une société multiculturelle tout en prônant l’enrichissement identitaire de chacune des cultures en contact.» [2007]
Lussier, p. 34 «Intégration et respect des valeurs de l’Autre découlant de la coexistence de divers groupes ethniques et cultures en présence dans une même société ou dans des sociétés distinctes et visant la formation d’une société multiculturelle tout en prônant l’enrichissement identitaire de chacune des cultures en contact.» [2009]
Coste, D., Moore D., et Zarate, G., p. 6 «On désignera par compétence plurilingue et pluriculturelle, la compétence à communiquer langagièrement et à interagir culturellement possédée par un locuteur qui maîtrise, à des degrés divers, plusieurs langues et a, à des degrés divers, l’expérience de plusieurs cultures, tout en étant à même de gérer l’ensemble de ce capital langagier et culturel. L’option majeure est de considérer qu’il n’y a pas là superposition ou juxtaposition de compétences toujours distinctes, mais bien existence d’une compétence plurielle, complexe, voire composite et hétérogène, qui inclut des compétences singulières, voire partielles, mais qui est une en tant que répertoire disponible pour l’acteur social concerné.» [2009 ;1997]
Coste, Moore et Zarate, p.12 «La compétence à communiquer langagièrement et à interagir culturellement possédée par un locuteur qui maîtrise, à des degrés divers, plusieurs langues et a acquis, à des degrés divers, l’expérience de plusieurs cultures, tout en étant à même de gérer l’ensemble de ce capital langagier et culturel. L’option majeure est de considérer qu’il n’y a pas là superposition ou juxtaposition de compétences toujours distinctes, mais bien existence d’une compétence plurielle, complexe, voire composite et hétérogène, qui inclut des compétences singulières, voire partielles, en tant que répertoire disponible pour l’acteur social concerné.» [2009]
Cadre européen commun de référence, p. 129 «La compétence à communiquer langagièrement et à interagir culturellement d’un acteur social qui possède, à des degrés divers, la maîtrise de plusieurs langues et l’expérience de plusieurs cultures, tout en étant à même de gérer l’ensemble de ce capital langagier et culturel. On considérera qu’il n’y a pas là superposition ou juxtaposition de compétences distinctes, mais bien existence d’une compétence, complexe, voire composite, dans laquelle l’acteur peut puiser.» [2001]
Borel, S., Gakuba, T-O., Molina, M.E., Wamba, A., p 10 «La transculturalité est comprise comme le cadre conceptuel par lequel la cohabitation de personnes, groupes ou communautés de différents horizons culturels est abordée dans la prise en compte de ce qui les différencie autant que de ce qui les réunit. Le terme de transculturel est synonyme de multiculturel et d’interculturel mais leur est préféré pour la signification de son préfixe qui évoque le fait de durchdringen, traverser, pénétrer.» [2005]
Borel, S., Gakuba, T-O., Molina, M.E., Wamba, A., p 11 «Le terme de transculturel quant à lui désigne généralement ce qui se situe au-delà des différences culturelles, sur le plan des universaux. Par exemple, on peut parler d’un modèle transculturel ou d’un diagnostic transculturel dans le domaine de l’anthropologie de la maladie lorsque l’on veut insister sur l’universalité de la chose, située au-delà des différences (Steichen 2002). Le terme est souvent attribué à Georges Devereux, qui s’en est servi pour désigner une forme de la consultation ethnopsychiatrique, celle dans laquelle le thérapeute ignore la culture du patient mais parvient à établir une relation avec lui par une « parfaite compréhension du concept de Culture » (Devereux 1978) et du dispositif thérapeutique.» [2005]