Champs de recherche : Analyses des discours

14 résultats

Cadre européen commun de référence en langues, p.17 « La compétence à communiquer langagièrement est constituée de savoirs, d’habiletés et de savoir-faire impliquant une composante linguistique, une compétence sociolinguistique et une compétence pragmatique» [2001]

Coste, Moore et Zarate, p. 12 «Capacité d’un locuteur à faire montre, à des degrés divers, dans une conversation, de ses multiples connaissances linguistiques et culturelles et, en même temps, à gérer ce bagage langagier et culturel.» [1997]

CECR, p. 129 «Capacité d’un locuteur à faire montre, à des degrés divers, dans une conversation, de ses multiples connaissances linguistiques et culturelles et, en même temps, à gérer ce bagage langagier et culturel.» [2001]

Cadre européen commun de référence en langues, p.129 «La compétence à communiquer langagièrement et à interagir culturellement d’un acteur social qui possède, à des degrés divers, la maîtrise de plusieurs langues et l’expérience de plusieurs cultures.» [2001]

Dictionnaire actuel de l’éducation, Legendre, p. 248 «- Possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un ensemble intégré de ressources en vue en vue de résoudre une famille de situations-problèmes. - Capacité, habileté qui permet de réussir dans l’exercice d’une fonction ou dans l’exécution d’une tâche (…).» [2005]

Féron et Hodent «Capacité non observable à produire une conduite ou à réaliser une tâche. La compétence est inférée, à partir de comportements observés (la performance). En psychologie, la compétence n’est pas innée, mais « construite » au cours du développement.» [2002]

Dictionnaire de l’altérité, p.48 «En didactique des langues, ce terme « recouvre trois formes de capacité cognitive et comportementale : compétences linguistiques, communicatives et socioculturelles» [2003]

Cadre européen commun de références en langues «Les compétences sont l’ensemble des connaissances, habiletés et des dispositions qui permettent d’agir» [2001]

Reboul et Moeschler, p. 14 «« Sous-discipline de la linguistique qui tente d’expliquer un grand nombre de faits (anaphores, temps verbaux, connecteurs, etc.) en recourant à une unité supérieure à la phrase, le discours, et à des notions permettant de le définir (cohérence, mémoire discursive, etc.) » » [1998]

Maingueneau «« Analyse de l’articulation du texte et du lieu social dans lequel il est produit. Le texte seul relève de la linguistique textuelle ; le lieu social, lui, de disciplines comme la sociologie ou l’ethnologie. Mais l’analyse de discours en étudiant le mode d’énonciation, se situe elle à leur charnière »» [1991 ]

Coulomb-Gully «L’analyse des discours repose sur la transparence et l’opacité d’un discours autonome par rapport au réel. Les critères d’analyse sont exogènes au discours étudié : caractérisation des messages à partir de critères définis à priori (méthode déductive) ou endogènes, nés de la lecture du texte analysé – méthode inductive.» [2002]

Dictionnaire de l’altérité: sous « discours » «Approche plurielle bien illustrée en didactique par la diversité des genres de textes abordés en relation avec le contexte de leur production : conversations, entretiens, débats, consultations, interrogatoires, articles de presse, publicités, textes dits « de spécialité », fragments épistolaires, petites annonces, recettes, posologies et autres modes d’emploi ; notions venues de la pragmatique. On ne parle plus aujourd’hui d’analyse du discours, mais d’analyses de discours. - On considère que les travaux d’E. Benveniste ont fondé la linguistique de l’énonciation (années 1960) : la langue, système sémiotique virtuel, s’oppose au discours, instance dans laquelle se réalise la langue. Ce discours du sujet est marqué par des indices (personnels, spatiaux et temporels : moi, ici, maintenant) qui ne peuvent être interprétés qu’en contexte, c’est-à-dire dans la situation d’énonciation. De plus, les modalités de phrase (interrogative, assertive, injonctive, exclamative) permettent d’identifier le point de vue de l’énonciateur sur le contenu de son message. À ces modalités formelles s’ajouteront ultérieurement, dans de nombreuses typologies, les modalités expressives, puis intersubjectives, qui permettent d’accéder à la subjectivité de l’énonciateur et d’identifier le type de relation qu’il établit avec son interlocuteur (ou son lecteur). » [2003]

Legendre, dictionnaire actuel de l’éducation «Science générale de tous les systèmes de signes autres que le langage et de leurs effets sur les comportements individuels et sociaux.» [2005]

Moirand, S. «La compétence discursive est « la connaissance et l’appropriation des différents types de discours et de leur organisation en fonction des paramètres de la situation de communication dans laquelle ils sont produits et interprétés ».» [1991]